Bientôt un an sans voyager. Le temps approche ou un nouveau départ serait enfin possible mais j'ai décidé de partir vers un pays inconnu qui se nomme "université". Il était pourtant bien planifié, organisé et choisi ce voyage mais il y a certaines frontières difficile à traverser. C'est vraiment comme si j'arrivais en pays étranger. Une nouvelle culture, de nouvelles habitudes, de nouvelles règles et un langage qui demande un dictionnaire pour mieux comprendre. J'arrive à la fin d'un trimestre épuisé comme si j'avais traversé l'Himalaya, non, encore plus fatigué. Je ne croyais pas y arriver, mais je ne suis toujours pas arrivé mais je vois enfin la lumière au bout du tunnel. Je me demande certain matin ce qui m'a poussé à changer de vie temporairement. J'étais bien pourtant et dans quelques semaines, je serais sur la route de l'aéroport pour un pays encore inconnu mais avec des montagnes et des rivières, des odeurs, des expériences humaines, des loisirs, des rencontres, une liberté d'être, la paix. je me sens fébrile simplement qu'à y penser. Mais pourquoi? Robert! Réveille toi mon vieux. Mais non, ce voyage universitaire va surement me mener au bout d'un rêve, celui de jumellé le travail aux voyages mais en entendant la montagne est dans ma tête et elle s'appelle la lecture et les travaux. Mais ou est le sommet? dans deux ans. C'est très stimulant et enrichissant d'apprendre à nouveau mais sincèrement, j'ai bien hâte aux vacances. En attendant, je mange, je dors, je lis, j'écris, je me lave, je fais un saut au gym quand je peux et la roue recommence. J'espère vraiment que la vue au sommet sera à la hauteur des efforts que j'aurai mis durant ce voyage.
Friday, November 28, 2008
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